INTRODUCTION
Le territoire de Taradeau est certes de faible étendue mais il possède en contrepartie un patrimoine archéologique enviable, vraisemblablement un des mieux connus du Var.
Une surveillance archéologique, des prospections et des fouilles y ont été conduites depuis 1969 jusqu’à nos jours.
Les résultats de ces travaux ont fait l’objet de plusieurs publications.
Recherches de 1994 à 2001 en collaboration avec Le Centre Archéologique du Var.
Les premiers vestiges découverts à Taradeau et publiés au XIXè siècle sont à rattacher à ceux de la villa St Martin.
Le Terroir de Taradeau forme un triangle de 1731 ha s’étendant au Nord sur les plateaux calcaires et comprenant, au Sud, une portion de la dépression permienne.
Les plateaux, situés à l’altitude moyenne de 230 m comportent quelques belles terres de culture, notamment autour du château de la Selle et des Reyniers. Il se terminent vers le Sud par un important dénivelé surplombant la plaine de l’Argens (à 50 m d’altitude en moyenne). Vers l’Ouest, le plateau est séparé par la Florieye d’un massif collinaire (La Pouponne : 219 m, Le Bois de Baron : 221 m, Bomuré : 230 m).
La Florieye se jette dans l’Argens au sud de la colline St Martin qui forme une éminence au milieu de la plaine (94 m).
*Nos sources en bas de page
Du VII ème Siècle au V ème Siècle avant Jésus-Christ
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LE GUE ST-MARTIN
Ce gué traverse l’Argens et permet de rejoindre à l’époque augustéenne « la via par Alpes Maritimes »
rive gauche, une peu en aval de la confluence avec la Florieye.
Quatre bornes anépigraphes en grès ont été trouvées au bord de l’Argens (leur datation n’est pas assurée)
dans une zone où le passage à gué est possible .
– L’une quadrangulaire et fragmentée est encore en place (Hauteur 1 m, Largeur 0,58-0,38 à la base,
0,48-0,33 au sommet, bords chanfreinés).
– Deux autres ont été transportées dans le Parc du Château St Martin :Une cylindrique (Hauteur 2,73 m, diamètre 1,96 m à la base et 1,60 m au sommet arrondi).
L’autre quadrangulaire (Hauteur 2,56 m, largeur : 0,50 m- 0,44 m à la base et 0,40-0,38 au sommet
arrondi).
– La dernière a été transportée devant le Prieuré St Martin (Hauteur 1,85 m, largeur : 0,50-0,43 au
sommet arrondi).
LE PIGEONNIER
– 70 m d’altitude et à 1000 m de St Martin.
– Datation : Premier âge du fer soit VIème avant J-C et réoccupé au 1er siècle avant J-C.
– Mobilier : Bracelet en bronze constitué de deux côtés creusés séparés par trois listels avec
tenon perforé et épingle à tête brisée (trouvée à 250 m au Nord du Site).
– Céramique modelée.
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Du V ème Siècle au II Siècle avant Jésus-Christ
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LE CASTELAR
Le plus vieux de nos forts… (Fin Vème siècle –IIème siècle avant J-C). Il surveille les gorges de la Florieye, 209 m
d’altitude, 2 hectares de superficie.
L’habitat est entouré d’une double enceinte ceinturant le sommet. A L’est au niveau d’un petit col reliant le site au plateau, le rempart extérieur est défendu par une tour pleine, de plan rectangulaire, de 4 à 5 m de profondeur sur 6 m de large environ.
La couronne extérieure, au Nord, à l’Ouest et au Sud, est épaisse de 2,40 m et son parement est constitué de blocs de
calcaire bruts d’extraction, tandis que de grands blocs posés sur le chant forment le parement interne.
L’enceinte intérieure, très dégradée, délimite une surface relativement plane où le rocher affleure par endroits.
A l’Ouest, entre les deux enceintes, deux murs de soutènement arasés en pierre sèches, espacés d’une dizaine de mètres,
courent parallèlement au rempart extérieur à une vingtaine de mètre de celui-ci. Les espaces ainsi aménagées devaient
servir à l’implantation de cases.
Un sondage effectué en 1992 à l’intérieur de la première enceinte n’a révélé ni trace d’habitat, ni matériel céramique.
Sur une large partie du site, l’érosion a entrainé la disparition quasi-totale de l’habitat.
Mobilier trouvé à l’extérieur : céramique campanienne, modelée ; grand récipient de réserve type Le Thouard 9.01 ;
amphore massaliete, dolium, meule à va et vient en rhyolite et en grès.
COLLET REDON
Site fortifié de sommet dominant la Florieye à l’Est.
– Datation : IIème siècle avant JC.
– Altitude : 200 m, superficie 600 m2 environ.
– Le rempart large de 1,50 m à l’Ouest et de 2 à 2,30 m à l’Est et au Nord, ceinture le sommet.
Il est constitué d’un mur simple avec blocage interne de gros blocs.
Au sud se trouve une porte à recouvrement de 2 m de large et de 2 m de profondeur environ.
L’intérieur du site est très érodé.
Mobilier : céramique modelée.
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Du II ème Siècle avant Jésus-Christ
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L’OPPIDUM DU FORT
(www.taradoppidum.org)
Présence humaine fin IIIème siècle avant JC,
abandon 30 avant JC.
Construction d’une enceinte fin IIème siècle avant J-C
qui se termine au début du 1er siècle avant J-C.
L’enceinte forme un pentagone mesurant 115 m du Nord au Sud et 95 m d’Est en Ouest, muraille large de 2,10 m à 2,35 m.
Superficie : 9500 m2.
Habitants : tribu des Vérucini.
Mobilier : Céramiques tournées, modelées, à pâtes claires, Amphores, Vases de réserve, objets en métal et en os.
TOUT EGAU
Site de Piémont (1) situé à 75 m d’Altitude.
Habitat du 1ersiècle avant JC au IIème siècle après J-C.
Superficie : 10000 m2 environ.
La fouille de sauvetage effectuée en 1991-1992 a montré trois états d’occupation, avec un abandon fin 1er siècle , début 2ème Siècle après J-C.
Deux sources pérennes : l’une au Nord du Hameau des Chaberts, l’autre à l’est, près de la Combe-La Clémensane.
Murs larges de 0,35 à 0,45 m (2) , toits en tuile (tégulae et imbrices).
Trois pièces, présence d’un métier à tisser vertical.
Assainissement des sols par l’installation d’un caniveau.
Résultats des fouilles :
– Monnaie de Vespasien (80 après JC).
– Céramique campanienne A, modelés, mortier italique, amphores, meule, fibule en bronze, chaînette et clou en bronze, lame, crochet et clous en fer, pierre à aiguiser, Vases et perle en verre, charnière de meuble en os, meuble en basalte.
(1) Plaine alluviale glaciaire formée au pied d’un massif montagneux.
(2) Pierres brutes d’exploitation, absence de mortier de chaux.
LA CLEMENSANE
Habitat rural du 1er siècle avant JC et Villa romaine du 1er au 2ème siècle après JC.
Site de piémont, exposé au Sud.
Altitude : 100 m, superficie : 50 m2.
– Habitat rural : pierre sèche, datation par la découverte de céramique campanienne A.
– Villa romaine Dans un premier temps, l’édifice aurait compté quatre pièces thermales.
La pièce froide mesurant 16,55 m2, était dotée au sud d’une piscina que l’on vidangeait dans un caniveau nord-sud venant de l’angle de la pièce ; son sol semble avoir été pavé de plaques de marbre gris et d’ardoise noire respectivement triangulaires et carrés.
– Une deuxième phase comprenait : un frigidarium (6) (pour l’eau froide) succédait , à l’ouest, un tépidarim (5)de 11,10 m2 environ sur pilettes carrés (briques
quadrangulaires)(pour l’eau tiède) relié au caldérium (pour l’eau chaude) par bouches de chaleur.
La pièce (3) était primitivement batie sur un hypogauste à pilettes rondes (système de chauffage par le sol, ces pilettes disposées à intervalle régulier, supportaient les dalles de béton des planchers supérieurs, sur lesquels étaient installées les baignoires et les piscine aujourd’hui disparues) chauffée par un praefurnium (bouche de fourneau qui s’ouvre au dessous d’un four) situé à l’Ouest.
Le Caldérium chauffé par le même praefurnim ultérieurement détruit, comportait un labrum (pour se rafraichir) dans l’abside, un solium (petit bassin) dans l’exèdre occidentale et un autre dans la partie sud de la pièce.Mobilier : fragment de statue en marbre, fibules à double pied en bronze (agrafe en métal qui sert à fixer les extrémités d’un vêtement), fibule de Nauheim, fibule d’Aucisse, fibule type Feugère, aiguille, scalptorim (grattoir), pêne de serrure, bracelet, fixation en bronze, poids en plomb de 627,28 grs,
Monnaies : drachme légère, petit bronze de Marseille, potin gaulois, as et demi as de la république, petit bronze d’Antipolis, as de Nimes.
Céramique campanienne A et C ,modelée, sigillee italique, sud gauloise, commune à pâtes claires, amphore gauloise.
(5) Le Tépidarium
L’ORMEAU
Habitat de plaine : Ferme A : milieu du 1er siècle avant JC et dans la seconde moitié du 1ersiècle après JC.
Ferme B : jusqu’au début du 2ème siècle après JC avec un abandon au début du III siècle après JC.
Superficie 1000 m2 – Altitude 70 m.
Sols de deux cabanes espacés de 25 m environ, sous deux fermes gallo-romaine.
Dans la ferme A, les restes d’un mur sont faits de moellons de grès liès à l’argile, et il existe deux sols superposés. Le plus ancien est formé d’un cailloutis régulier posé sur la terre vierge.
Le dernier sol présente un foyer délimité par des pierres de grès et des galets de rivière.
Existence d’un drain. Edification d’une HUILERIE et d’un FOULOIR à VIN.
Dans la ferme B : Construction plus soignée, plus large. Utilisation de la Chaux. Sur le sol battue est présent un FOYER bordé d’une couronne de pierre. Edification d’une HUILERIE.
Matériel : Céramique Campanienne A, modelée, mortier italique, amphore italique, dolium, deux monnaies de Marseille, Denier, Sesterce, Duponduis.
Bronze : poignard, pied de meuble, applique circulaire, Serpette, lame, tige, fragment d’anse de sceau, valet de menuisier.
Visible à L’Abbaye de la Celle
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De 51 avant Jésus-Christ à 400 ans après Jésus-Christ
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GROS REYNIERS/BASTIQUE REYNIER
Habitat rural de l’Epoque romaine
Mobilier : Céramique commune à pâte claire ; meule en ryolite (roche volcanique).
LA LOMBARDE
Habitat rural d’époque romaine.
Mobilier : céramique commune à pâte claire, dolium (jarre).
LE CLOS DU DRAGON/LA BERGERIE
1er siècle avant JC- et occupé jusqu’au moyen-âge.
Habitat rural de l’Epoque romaine, site de pente de la cuesta calcaire.
Altitude : 130 m, le matériel est répandu sur 500 m2.
Mobilier : Denier de la république romaine ; bracelet en bronze à section quadrangulaire, à bosses ; céramique sigillée sud-gauloise (vaisselle de table standardisée), céramique commune tournée à pâte claire, grise tardive (avec surcuits évoquant la présence d’un FOUR DEPOTIER), amphore italique.
LES THERMES DE LA VILLA GALLO-ROMAINE SAINT MARTIN
La Villa St Martin à Taradeau, Var, est située en bordure de la dépression permienne, au pied du plateau calcaire du Centre-Var, à
70 m d’altitude et à 750 m au nord du fleuve Argens. Le substratum du site est constitué de « maullausse », c’est-à-dire de pélites
permiennes.
Il présente une pente naturelle vers le Sud-Est et correspond au flan ouest d’un thalweg, qui drainait vers l’Argens les eaux de pluie du plateau calcaire situé en amont. L’estimation de la surface de la villa est d’environ 10000 m2.
Les différentes phases d’occupation :
Les résultats de la fouille sont originaux et apportent une vision nouvelle sur l’occupation du territoire rural et sur l’activité agricole dans le VAR durant l’Antiquité tardive (284 à 700 après JC) et le haut Moyen Age (500 à 1000 après JC).
LA PHASE 1
C’est l’occupation primitive du site au 1er siècle avant JC qui est le fait d’une population indigène ((Celto-ligures, tribu des Vérucini) conférération des Salyens. Il s’agit d’un habitat groupé, qui coexiste avec le proche oppidum du Fort, occupé durant le 1er siècle avant JC jusqu’en 30/20 av. JC.
Murs en petits moellons bruts d’extraction montés à l’argile, épaisseur de 47 à 70 cms. Elévations en terre crue (pierre locale).
Un des éléments originaux est la présence de vestiges d’activités artisanales méconnues jusqu’alors pour des sites de plaine de cette période : ATELIER DE FORGERON et MAIE DE PRESSOIR EN GRES, la plus ancienne connue en place dans le Centre Var, dans
l’état de nos connaissances.
PHASE 2
Elle correspond à une ferme créée durant le début du 1er siècle avant JC et qui sera occupée jusque vers 80/90 après JC. Les structures de la phase 1 furent rasées et remblayées. Les mûrs sont bâtis en pierres liées à l’argile et les sols en terre. Cette ferme comportera 5 pièces, présence de drains et d’un four. Aucun vestige d’installation technique agricole n’y a été découvert.
L’Hypothèse d’une création coloniale est plausible compte tenu de la découverte de deux inscriptions de la période augustéenne (Auguste, fondateur du Principat de 27 avant JC à 14 après JC) et julioclaudienne (Première dynastie impériale romaine régnant sur l’empire romain de 14 à 68 après JC avec quatre empereurs), dont les dédicants sont citoyens romains.
Inscriptions funéraires sur plaque de grès : « De leur vivant, Lucius Valérius Eni et Valérius Epa fils de Lucius appartenant à la tribu Aniensis, gênois ont élevé ce monument ». L’inscription est datée de l’époque Julio-Claudienne. Il faut souligner que ces Valérii seraient d’origine de Gênes et auraient obtenu leur citoyenneté à Forum Julii.
LA PHASE 3
La villa est construite vers la fin de l’époque flavienne (Dynastie d’empereurs romains de 69 à 96 après JC) et sera abandonnée en tant que telle vers 150 ans après JC.
Son plan est original. La Partie résidentielle est en forme de U ouvert vers le Sud (fig 1). Les thermes sont indépendants
LA PHASE 4
De La Villa ST MARTIN (2ème moitié du IIème siècle à la fin du Vème siècle après JC).est celle de grands remaniements dont les bâtiments résidentiels de la villa sont l’objet dans le courant de la deuxième moitié du IIème siècle après JC, et qui les transforment en un grand établissement agricole à vocation oléicole et vinicole.
La Pars Urbana est transformée en chai à vin avec 4 fouloirs et 4 cuves et le bassin d’agrément en installation hydraulique ( photo ci-dessous). Ces pressoirs étaient reliés à des cuves (photo ci-dessous).
LA POUPONNE
Altitude 217 m,
Petit habitat daté du 1er et IIème siècle après JC. Site peu étendu, Pas de pierre travaillée, ni de marbre, ni de peinture retrouvés.
LE NOUGUIER d’ESQUIER
A 1500 m de St Martin est un petit habitat des 1er et IIème siècle après JC.
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De 400 ans à 1400 ans après Jésus-Christ
LES THERMES DE LA VILLA GALLO-ROMAINE SAINT MARTIN
PHASE 5
(VIème sièce à la deuxième moitié du VIIème siècle).
L’exploitation est axée sur l’Elevage. L’ancien bâti est réaménagé et de nouveaux bâtiments sont construits. Cet habitat structuré de 4290 m2 environ est plus étendu que celui des phases précédentes, mais il existe un déclin dans la qualité des modes de construction.
L’Oléiculture est encore pratiquée au début du VIème siècle.
Ce qui distingue St Martin au VIème siècle, c’est l’activité pastorale. L’élevage concerne alors le gros bétail, comme les bovins pour la boucherie et les équidés.
Il constitue pour l’instant le seul cas observé sur les sites ruraux varois pour le haut moyen âge.
PHASE 6
(XIIème siècle)
Les derniers vestiges sont à rattacher à un bâtiment agricole dépendant du Prieuré St Martin, dont l’Eglise est encore en élévation à 100 m à l’Ouest du plateau (fig 2,3).
Lexique :
Anépigraphe : qui est sans inscription, sans titre.
Hypogauste : système de chauffage par le sol.
Céramique modelée : la technique du moulage ne permet pas d’obtenir un vaseparfaitement symétrique.
Céramique Campanienne A : Argile à pâte rouge-orangée à rouge brunâtre avec un vernis très résistant lisse et brillant. Produite en Italie.
Céramique Campanienne C : Argile grise à cœur souvent brun et un vernis noir. Une céramique rare en général moins de 1% mais néanmoins retrouvée à 10% enProvence.
Amphore Massaliete : Amphore fabriquée à Marseille.
Dolium : Jarre.
Ryolite : roche volcanique de couleur assez claire, rosée ou grise, parfois bleue.
Céramique tournée : avec un plateau rotatif appelé girelle.
Céramique à pâtes claires régionale : dont les tons vont de jaune très clair à ocre.
Céramique grise tardive : Réalisée dans une pâte épurée.
Mortier italique : Morceau d’amphore.
Valet de menuisier : pièce métallique en forme de L .
Céramique sigillée sud-gauloise : vaisselle de table standardisée de qualité constante.
Cuissons des différentes Céramique :
La céramique modelée, cette catégorie détermine des céramiques à pâte grossière nontournée et cuite en mode B soit avec la fermeture totale du four. La pâte obtenue est de couleur grise ou noire.
Le Mode de cuisson A est une cuisson simple à flammes nues. Il donne des céramiques de couleur claire blanche à rouge.
Le Mode de cuisson B nécessite l’utilisation d’un four à rayonnement. C’est le mode de cuisson des céramiques sigillées. La charge à cuire est intégralement protégée des flammes.
Les fours à rayonnement canalisent les flammes dans des tubulures d’argile.
NOS SOURCES pour l’ARCHEOLOGIE à TARADEAU :
° « Histoire de l’Ouest Varois » (extrait des annales de la Société des Sciences Naturelles et d’Archéologie de Toulon et du Var – 1997) par Henri RIBOT, Archéologue et Directeur du Centre Archéologique du VAR, Correspondant de la Direction des Antiquités historiques de la Côte d’Azur.
° « Les Fouilles de Taradeau Le Fort, L’Ormeau et Tout-Egau » sousla direction de JP BRUN, G. CONGES et M. PASQUALINI Archéologues (Revue Archéologique de Narbonnaise supplément 28 CNRS Editions).
° « Histoire et Archéologie » Dossier d’Archéologie n°57 Côte d’Azur, de l’Age du Fer aux Romains- Octobre 1981).
° « La Carte Archéologique de la Gaule Le Var » de Jean Pierre BRUN avec la collaboration de Mr BORREANI Archéologue.
° « Carte archéologique de la commune de TARADEAU (Var) » par Gilbert GALLIANO Maire, Michel PASQUALINI Archéologue, JeanREYNIER Instituteur.° « Histoire d’un Terroir », Du Paléolithique au Moyen Age Taradeau(VAR). Bulletin de la société d’Etudes Scientifiques et Archéologique de Draguignan et du Var. Jacques. BERATO.
° « L’Etablissement rural de St Martin » à TARADEAU Jacques BERATO..
° « l’Oppidum du Fort à Taradeau » (Var) Christian GOUDINEAU Archéologue.
° « De l’Age du Fer à la civitas forum Jullii » Var, Jacques BERATO.
° « La Petite Paysannerie dans le Var à la fin de l’Age du Fer et à l’époque romaine », Jacques BERATO.
° « Les Thermes de la Villa Gallo- Romaine St Martin à Taradeau »Jacques BERATO.
° « Taradeau, Castrum Médiéval », Jacques BERATO.
° « L’Histoire de l’Ouest Varois », Henri RIBOT.
° Edmont Poupé (1862-1939) Professeur, Historien, Officier des Arts et des Lettres.
° Société d’Etudes Scientifiques et Archéologiques de Draguignan 21, allées d’Azémar 83300 DRAGUIGNAN